Brune incombé interroge la son de son âme et conclu par le silence qu'il envie le mimétisme d'être. S'oublie le cœur alors, de toujours renié abandonne le corps de son être avant d'avoir le de son propre chef l'humble avis de nommé sur sa douleur les bouts de mensonges attrapés lors de sa longue vie sans conscience. Alors encore une fois dans le murmure du vent grisonnant le brouillard et l'eau s'évaporant de ses cheveux hérissé. Comble ainsi l'humeur perdue du calme. D'un souffle rauque consommé de brume noire incubé pas les flammes rougeoyante et fermant les portes de nos envies désirs et plaisir. Une fois, souvent, toujours, jamais finalement je jure de n'avoir guère réfléchis à ce que le temps affectais sur une âme. Ce conflit de l'existence de celle-ci est-elle possible ou n'est que pure invention imagination hallucination. Musique de notre souffle insoumis aux ordres de notre esprit et puis de sens il écrit encore la vie sans envie de mourir mais sans nier cette inconcevable chose nommé simplement et pourtant invente une fois encore. quand l'animal en toi vit et explose comme une tornade enchainé laisse une haine rage de toi sortir avant de déferlé sur les flots de l'écume sur les rivages. Mouette hurle dans le vent rugissant et en core et encore celle-ci vol à contre sens. Toujours contre tout, et parfois je demande encore s'il est possible en tant qu'animal ou être pensif de toujours avancé vers la lumière sans avoir eu une attirance irrésistible vers le sombre qui ensemble ne peuvent créer une vie telle qu'elle est connue. Enivrante et dominante.