Rédaction: Toi, Cloé, mon amie; Chapitre VIII

Alerte!!!! Certain propos peuvent être choquants (très choquants).

Rédaction écrite en 2015 (classe de 2nd)

Sujet: Écrire une nouvelle ou roman réaliste ( minimum 4 pages).

Note: 18/20

Appréciation: ???

- Tu as des nouvelles de Cloé? me demande Marine.

- Pas depuis ce week-end. Et toi?

- Non.

- Marine et Lou!

Oups… Repérée par la prof.

- Cessez ces bavardages!

Elle a un vocabulaire plutôt soutenue. Je sais pas, elle pourrait pas parler normalement, comme tout les profs. Genre le « taisez-vous » de Nelou ou le « don’t speak » de la prof d’anglais.

- Cessez ses bavardages, me glisse à l’oreille Marine tout en imitant la voix de la prof.

- Arrêtes, tu vas nous faire repérer.

- Bon! Mesdemoiselles dehors!

Je me retiens d’exploser de rire. Je me lève, Marine en fait de même et sortons dans le couloir. Là nous éclatons de rire.

- Mesdemoiselles! j’imite la prof.

- Cessez ses bavardages! renchérit Marine.

Une fois notre crise d’euphorie passée nous sortons nos téléphones.

- Tiens?! J’ai reçu un sms de Cloé, m’informe Marine.

- Ah ouais? Elle dit quoi?

- Euh… Elle est a l’hôpital.

Marine se tourne vers moi avec une mine dépitée.

- Pardon?! Comment ça se fait? C’est à cause de sa maladie?

- Oui, c’est ce qu’elle dit.

Je donne un coup de coude à Marine car je repère la prof qui s’approche de la porte. Elle nous fait rentrer mais la sonnerie retentit. Nous rangeons nos affaires et allons au self. Dans la file d’attente Marine me dit qu’elle va appeler Cloé juste après le repas. Nous mangeons à toute allure puis appelons notre amie.

- Mets en haut-parleur, j’ordonne à Marine.

- Oui…

Ça sonne… Les secondes paraissent interminables. Finalement on décroche.

- Allo?

- Cloé!!! nous crions.

- Bonjour les filles, ça va?

- Nous ça va très bien. C’est quoi cette histoire d’hôpital?!, je demande sans laisser le temps à Marine de répondre.

- Eh bien, ma maladie s’est aggravée et je suis obligée d’être allongée à l’hôpital pour leur différents tests.

- D’accord, mais tu restes pas toute la journée?, questionne ma cadette.

- Non, sauf si jamais c’est vraiment trop grave.

- Ok…

- Bon je dois vous laisser, à plus.